Langé et humilié devant toute la famille

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 6 ans

Ça faisait deux fois que le lit était un peu mouillé le matin. Cette fois, c'est sûr, elle allait se mettre en colère. De la main, je tâtais le drap humide et chaud et évaluais l'ampleur des dégâts. Dans un demi-sommeil, elle étendit le bras et rencontra la chaleur humide. Elle s'éveilla tout à fait.

  • Tu l’as encore fait ? Demanda-t-elle.

  • Oui... Un peu. Répondis-je, honteux et en même temps délicieusement excité.

  • Ça ne peut plus durer. Tu dois faire quelque chose.

  • Je veux bien, mais quoi ? Lui mentais-je.

  • Puisque tu mouilles ton lit comme les gamins, tu vas mettre une protection comme eux en attendant que ça te passe. Me dit-elle d'un air sévère.

Jubilant en secret, je résistais mollement, inventant des excuses que l'humidité de la nuit balaye aussitôt.

  • C'est décidé. A partir de maintenant, tu porteras une couche pour dormir. Et comme c'est aujourd'hui samedi, nous allons acheter tout de suite ce qu'il te faut.

Arrivés à la Samaritaine, du temps où le rayon couche était grand et fourni en articles variés, je n'en menais pas large. Autant j'avais espéré ce moment qui me permettrait de dormir langé, autant je redoutais la confrontation avec la vendeuse. Ma femme, continuant sur sa lancée, appela une vendeuse et lui expliqua ce dont j'avais besoin sans me nommer.

  • Il nous faudrait une protection pour adulte. Qu'avez-vous à me proposer ? Je voudrais quelque chose de bien étanche, vous comprenez ? Lui demanda-t-elle.

La vendeuse acquiesça de la tête en souriant.

  • J'ai ceci, dit-elle, en écartant entre ses deux mains l'élastique d'une culotte à pressions doublée.

  • Je préfère sans pressions, j'ai peur des fuites. Lui répondit ma femme.

  • Alors celle-ci, toute simple. répond la vendeuse.

  • Ce sera parfait ! Dit ma femme.

  • De quelle taille ? Demanda la vendeuse.

  • Mettons... Pour quelqu'un de la taille de mon mari ... Dit ma femme avec un grand sourire.

La vendeuse marqua un temps d'arrêt avant de se ressaisir. Prenant le mètre de couturière qu'elle portait en sautoir autour du cou, elle écarta les pans de mon imperméable et entreprit de mesurer mon tour de taille.

  • Vous faites un 40. Je vais vous donner un 42 pour avoir la place de mettre la garniture. Ça prend de la place dans la culotte, vous savez ?

  • Ah ? Fis-je, rouge et ravi tandis que ma femme montrait un franc amusement.

La vendeuse nous accompagne jusqu'à la caisse et pose sur le comptoir le sachet plastique transparent contenant la culotte ainsi que l'encombrant paquet de couches. La caissière hésite en tapant le code des articles.

  • C'est combien les couches adultes ? demande-t-elle à voix haute alors que j'attends pour régler mes achats.

A cette question, plusieurs regards convergent vers la caisse et se concentrent vers moi. Absorbé dans le compte de mes billets, je fais mine de les ignorer. Elle me dit pendant que je paye.

  • Je n'ai plus de grands sacs, je vous le laisse comme ça ?

  • Oui. Dis-je dans un souffle.

Un sac de petit format est vite agrafé au paquet de couches et je rejoins mon épouse hilare un peu plus loin.

  • J'ai quelques courses à faire, tu m'attends ici. Me dit-elle.

Coincé ! Je tente de faire disparaître l'encombrant paquet derrière un comptoir en attendant, mais une vendeuse me rappelle gentiment à l'ordre. J'obtempère et conserve le honteux chargement devant moi. Cinq ou six personnes, en majorité des femmes, sont passées devant moi pendant mon attente. J'essaye de prendre un air détaché mais je sais que tous pensent qu'à mon âge je ne devrais plus mettre des couches. Enfin ma femme a fini ses courses et nous rentrons en voiture. Arrivés à la maison, je vais ranger mes achats dans la commode de la chambre, pas très fier et en même temps très excité à l'idée d'avoir affronté des inconnus sur le sujet secret de mes nuits.

Il est 18 heures 45. Le jour décline vite en janvier.

  • Il est bientôt sept heures. Tu devrais aller te préparer. Me dit soudain ma femme.

  • Me préparer à quoi ? Demandais-je innocemment tandis que la réponse m'apparaissait évidente.

  • A te coucher, idiot ! Répondit ma femme.

J'essayais de résister, trouvais l'heure trop tôt, refusais la nécessité de la garniture... Rien n'y fit. Je passais dans la salle de bain et me déshabillais. J'enfilais la culotte de plastique et glissais dedans une couche. Je l'ajustais entre mes cuisses pour limiter la gêne et remis ma culotte de pyjama. Rien sauf ma démarche ne trahissait le paquet que je portais entre les jambes.

J'entrais doucement dans le salon.

  • Viens ici que je vérifie. Dit ma femme.

En écartant mon peignoir, elle glissa la main dans la braguette du pyjama et tâta le plastique et la cellulose.

  • Bien ! Avec ça plus de problèmes la nuit. Tu es bien ?

  • Oui. Répondis-je à voix basse.

  • Alors tu peux rester un peu avant d'aller te coucher, mais je préfère que tu sois garni. Je ne voudrais pas d'accident dans le salon. Dit-elle en riant.

Vers 20 heures, elle décida qu'il était temps pour moi d'aller dormir. Je me levais pour rejoindre la chambre quand on sonna à la porte. Paniqué, je me pressais vers la chambre.

  • Va donc ouvrir, on sonne. Me dit-elle.

  • Mais... je ne peux pas comme ça. Lui dis-je.

  • Mais si, ça ne se voit pas.

Pétrifié, j'ouvris la porte, de peur qu'on entende notre discussion. La soeur de ma femme apparut dans l'encadrement de la porte.

  • Tu allais te coucher ? Demanda-t-elle d'un ton où le regret le disputait à l'amusement.

  • Non. Il s'est juste déshabillé plus tôt que d'habitude. Répondit ma femme.

Elles s'assirent dans le salon et je dus me joindre à elles. En m'asseyant, le peignoir s'entrouvrit et un bruit caractéristique de plastique froissé se fit entendre alors que la conversation, comme un fait exprès, marquait un temps d'arrêt.

  • C'est quoi ce bruit ? Demanda ma belle-soeur.

  • Mais demande-lui. Répondit ma femme en me désignant.

J'étais cramoisi. Excité. Fou de joie et de honte, je ne pouvais plus parler.

  • Et bien ? Me demanda ma belle-soeur.

Devant mon mutisme gêné, ma femme prit la parole.

  • Il a de petits accidents la nuit, alors il porte une protection pour dormir. Rien de grave, mais il vaut mieux être prudent. Tu comprends ?

Ma belle-sœur, au bord du fou rire, demanda à voir de près. Sur l'injonction de ma femme, je me levais et baissais ma culotte de pyjama. La couche et la culotte apparurent, gonflées par mon excitation et le paquet de cellulose que j'avais entre les jambes.

  • On dirait un bébé. Dit ma belle-soeur.

  • C'est un peu ça, mais ce n'est pas grave. Il a mouillé le lit deux ou trois fois, alors tu comprends... Dit ma femme.

  • Je comprends surtout qu'il retombe en enfance. Dit ma belle-soeur en riant.

La conversation allait son train et on s'éloigna du sujet des couches. Je respirais.

Dimanche matin... Le soleil se faufile entre les doubles rideaux disjoints et vient rappeler qu'il est déjà neuf heures. Les élastiques de la culotte me rappellent ce que je porte sous mon pyjama. La séance d'hier soir me revient en mémoire. Tiens ! Au fait, j'ai très bien dormi langé comme ça. Une vérification furtive pour savoir si je suis mouillé. Non, tout est sec. Ma femme dort encore... Je me laisse doucement aller et mouille un peu la couche. Le liquide chaud s'insinue entre mes cuisses et est vite absorbé par toute la surface de la couche. Mes fesses se mouillent un peu au passage. Je me retiens quand même, sinon c'est l'inondation. Sous l'effet du liquide, la couche s'est affinée à l'entrejambe et épouse un peu plus le contour des cuisses. Je me mets sur le ventre et somnole. Un peu plus tard, ma femme se réveille.

  • Tu as bien dormi ? Mais ! On dirait que tu es encore tout mouillé. La couche me paraît bien lourde. Tourne-toi !

Je me retourne sagement pour qu'elle puisse vérifier l'état de ma couche.

  • Baisse un peu ton pyjama que je vois ça.

Je défais le bouton de la ceinture et soulève un peu les fesses pour faire passer le pantalon. Ma femme glisse doucement l'index sous la culotte à l'entrejambe et trouve la couche humide qu'elle attendait.

  • Hum... Je m'en doutais. J'ai bien fait de te mettre ça. Tu es vraiment incorrigible.

Penaud, je remonte mon pyjama et me lève. La couche pend derrière et fait une bosse. Ma démarche est un peu bizarre. J'ai l'impression d'avoir un gros paquet entre les jambes. Je me dirige vers la salle de bain avec l'idée d'enlever tout ça.

  • Où vas-tu ? Questionne ma femme.

  • Ben... Dans la salle de bain.

  • Et pour quoi faire ?

  • Pour enlever ça. Répondis-je.

  • Pas question ! Tu la garderas jusqu'à ce que je te dise de l'enlever. Ca t'apprendra à faire la nuit. Va donc préparer le petit déjeuner.

  • Ça ne m'arrangeait plus du tout. J'avais encore une grosse envie de faire pipi et je ne voulais pas faire dans la couche. Elle aurait débordé. Mais que faire ? Après tout elle avait raison.

Nous prenons le petit déjeuner à la cuisine. Assis sur une chaise, je sens la couche mouillée se presser comme une éponge et je crains la fuite. Ça, elle n'aimerait pas. Mais j'ai toujours envie de faire pipi. Elle fait comme si de rien n'était et boit son thé. Moi, doucement, je me laisse un peu aller. Ça a l'air de tenir. Un peu plus... Stop. Mais que c'est dur d'arrêter... Il en coule plus que je ne voudrais et tout à coup, c'est la catastrophe. Le pyjama se décore d'une tache de mouillé à hauteur de l'élastique de la fesse droite. Le petit déjeuner est fini. Je me lève. La tache apparaît et n'échappe pas à ma femme.

  • C'est quoi ça ? Demande-t-elle alors qu'elle connaît la réponse.

Je bredouille un début de réponse avec un air faussement contrit.

  • Mais tu te mouilles même la journée alors. Bon, hé bien tu porteras une couche la journée aussi. Comme ça on sera tranquille. Allez, dépêche-toi. Va te laver et garnis-toi. On sort !

  • Non, pas dehors. J'aurais trop honte. Dis-je en tentant de résister.

  • Pas de discussion. Tu mouilles ta culotte, tu portes une couche. C'est pourtant simple à comprendre, non ?

Je vais dans la salle de bain et ôte mon pyjama. La couche est lourde de pipi. Je fais glisser la culotte de plastique qui tombe sur le carrelage avec un bruit mat. Mes fesses mouillées me font froid après la douce chaleur de l'enveloppe protectrice. J'ôte la couche souillée, la jette dans la poubelle et me lave. Une fois sec, je remets une couche dans la culotte et l'enfile. Je passe un pantalon en velours large et le reste de mes habits. Ca ne se voit pas trop mais j'ai l'impression que ça s'entend à chaque pas. Ma femme arrive et vérifie.

  • Alors, ça y est ? Tu es prêt ? Me demande-t-elle.

  • Oui. Répondis-je en baissant la tête.

  • Fais voir. Dit-elle.

J'ouvre le haut du pantalon et laisse apparaître le plastique de la culotte. Elle passe la main entre mes cuisses pour vérifier la présence de la couche.

  • Bien. Comme ça tu ne risques rien.

Elle s'habille et nous sortons. C'est dimanche, il y a peu de monde dans les rues mais elle a décidé d'aller au marché. Dans le brouhaha, avec en plus le manteau, il est impossible que quelqu'un s'aperçoive de quelque chose. N'empêche, je crois voir des yeux rivés sur mes fesses rembourrées à chaque personne qui me croise. Je suis au supplice. Ma femme s'en aperçoit et en rit franchement.

  • Tu es bien, mon bébé ? Me demanda-t-elle à voix haute en provocant l'étonnement de deux personnes.

  • Tes petites fesses sont toujours au sec ?

  • Oui. Dis-je en rougissant.

  • Dans ce cas, allons boire quelque chose.

Nous entrons dans un café. Ma femme commande un thé et une eau minérale. Je dois boire les deux. Bientôt, l'effet se fait sentir et je ressens une envie pressante. Pas la peine de lui dire, je connais la réponse. Doucement, je me libère dans ma couche qui s'alourdit. Ma démarche change un peu. Ma femme s'en aperçoit.

  • Encore mouillé ? Décidément, tu es terrible. On peut rentrer maintenant. Me moque-t-elle.

Je n'ai pas eu le droit de me changer avant midi. Et l'après-midi, j'ai du utiliser la couche au lieu des toilettes. Le soir, j'ai pu mettre une couche propre pour dormir.

La nuit fut calme. Bien enveloppé dans ma culotte plastique, une bonne couche épaisse sous les fesses, j'étais paré. Au réveil, rien. Mais les impératifs du travail ont empêché que nous nous étendions sur cette absence de pipi. La journée s'est passée sans aucune fuite. Heureusement car je n'étais pas garni et le soir, je rentrais à la maison. J'étais tranquillement assis au salon en train de lire quand ma femme rentra. Après les questions d'usage sur la journée de travail, elle revint à des sujets plus " bébé ".

  • Hé bien, Tu ne portes pas de protection ? Tu te crois grand ? Me demanda-t-elle.

  • Non, répondis-je. Enfin si... Heu... Mais je ne vais pas mettre des couches tout le temps.

Objectai-je faussement.

  • Mais si. Dès que tu es à la maison, je veux que tu sois langé. A partir de maintenant, tu te garniras dès que tu rentres le soir. Et tu resteras ainsi jusqu'au lendemain matin. Allez, vite !

Elle avait répondu ce que j'espérais entendre.

Je me levais et allais dans la salle de bain. J'avais rangé la couche de la nuit précédente avec la culotte dans le placard sous le lavabo. J'enlevais mon pantalon et mis la couche. Je la remontais bien sur mon ventre pour ne pas trop gêner ma démarche et réenfilais mon pantalon et je regagnais le salon.

  • Mais tu n'as pas besoin de pantalon. Enlève-le et reste en couche. Comme ça je suis sûre que tu es langé. Dit-elle.

Je me retrouvais en culotte plastique et pull. Le rectangle blanc de la couche était bien visible à travers le plastique et ne laissait aucun doute sur la nature des mes sous-vêtements. Et ce que je redoutais arriva. Ma belle-soeur venait encore nous rendre visite. Ce fut ma femme qui ouvrit. J'étais en train de chercher une cachette quand j'entendis ma femme désigné l'endroit où je me trouvais. Ma belle-soeur entra avec ma femme et vit ce qu'elle était venue voir. Ma couche et surtout ma tête devant son regard amusé. Les deux soeurs avaient l'air de trouver la situation à leur goût. On s'assit sur le canapé et pendant qu'elle parlait à sa soeur, ma femme me caressait distraitement la couche. L'effet ne se fit pas attendre. Je bandais. Ma belle-soeur s'en aperçut et questionna ma femme.

  • Tu le laisses bander dans sa couche ?

  • Bien sûr, comme ça il est protégé s'il s'excite trop. Répondit ma femme.

Les deux soeurs s'esclaffèrent sur leur bonne blague. Après un moment, la conversation revint vers moi et mes protections.

  • Ça ne te gêne pas pour marcher ? Me demanda ma belle-soeur.

  • Non, c'est même assez confortable. On s'y fait tu sais. Dis-je.

  • Tu veux essayer ? Proposa ma femme à sa soeur.

Celle-ci eut un moment d'hésitation que ma femme mit à profit.

  • Va chercher une couche dans ton placard. Me dit-elle.

J'y allais tandis que leurs regards accompagnaient mon derrière rembourré. J'avais horreur et en même temps envie qu'on me voit marcher en couches. Je revins, portant le rectangle de cellulose, et le donnais à ma femme. Elle le tendit sa soeur.

  • Tu n'as qu'à glisser ça sous ta culotte pour voir l'effet que ça fait. Lui dit-elle.

La sœur de ma femme prit la couche et la caressa de la main.

  • C'est doux. Dit-elle.

  • Essaye donc tout de suite. Je vois que tu en meurs d'envie. Lui dit ma femme.

Ma belle-sœur rougit. Elle se leva doucement et se dirigea vers les toilettes. Je regardais ma femme, interloqué. Elle souriait. Ma belle-soeur revint et s'assit avec nous.

  • Alors ? Tu l'as mise ? Demanda ma femme.

  • Oui, ça fait bizarre. On dirait une couche pour bébé géante. Ca remonte loin sur le ventre et les fesses. Répondit-elle.

Rien sous sa jupe ample ne laissait supposer la surépaisseur de la couche. En l'absence d'une culotte plastique aucun bruit ne se faisait entendre. La discrétion même.

  • Lui, il porte ça toutes les nuits et la journée le week-end, mais en plus il a une culotte en plastique pour les fuites. Je crois que c'est plus contraignant avec la culotte. A cause des élastiques et du froissement qui s'entend. Lui dit ma femme en me désignant. Je pris la parole doucement et demandai à ma belle-soeur.

  • Tu veux bien me montrer ?

Elle interrogea ma femme du regard qui l'encouragea d'un sourire. Elle se leva et remonta doucement sa jupe. Sous sa culotte avec broderies dépassait une large couche pour adulte. Elle l'avait bien mise et ça lui couvrait bien l'entrejambe. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce spectacle. J'avançais la main, ce qui me valut une tape et rompit le charme. Ma belle-sœur rabaissa vivement sa jupe, se dirigea vers les toilettes et revint, rouge vers nous. Je me sentais moins seul depuis que je l'avais vue en couche.

  • Alors, ça t'a plu ? Lui demanda ma femme.

  • Non, pas du tout. J'avais l'impression d'être prisonnière d'une sorte de gros truc doux. Je n'en mettrai plus jamais. Répondit ma belle-soeur.

  • Ma femme se tourna vers moi en souriant. Veinard ! Tu auras le paquet pour toi tout seul. Dit ma femme souriante en se tournant vers moi.

Nous ne reparlâmes plus de l'épisode où ma belle-sœur avait essayé une couche. Les jours passaient. Le soir en rentrant, je mettais ma garniture. Je l'ôtais le matin, parfois humide, parfois sèche.

Le week-end arriva. J'avais entrepris de mouiller ma couche pour le samedi matin, quand en me réveillant, je constatais entre mes cuisses une humidité que je connaissais bien. J'avais mouillé ma couche durant mon sommeil ! Je glissais la main pour vérifier mais l'état de la cellulose ne laissait aucun doute. J'avais vraiment fait pipi au lit. Je n'en revenais pas. Ainsi je m'étais tellement habitué à mon enveloppe protectrice que les barrières de la propreté étaient tombées d'elles-mêmes. J'étais très intrigué et en même temps assez amusé. J'allais pouvoir me langer sans jouer la comédie. Très vite cependant, je m'inquiétais. Et si c'était irréversible ? Et si je ne pouvais plus me retenir du tout ? Et pendant la journée ? Toutes ces vérifications me rendaient soucieux. Ma femme s'éveilla et fit sa vérification de routine. Une main se glissa entre mes jambes et un doigt s'insinua sous l'élastique.

  • Mmm... Cochon. Pas de couche propre jusqu'à midi. Dit-elle dans un demi-sommeil.

La matinée se passait plutôt bien. Elle avait changé d'avis et après une douche, j'avais eu le droit de mettre une couche propre. Ma culotte était moins nette que le premier jour. Comme je restais, ainsi qu'elle me l'avait demandé, en couche sans pantalon. Ma femme s'en aperçut.

  • Il faudrait t'acheter d'autres culottes. Celle-ci est sale. Tu devrais la laver. Dit-elle.

J'envisageais tout de suite la possibilité de l'ôter pour sortir, prétextant le lavage et le séchage de la culotte quand je me souvins de mon vrai accident de la nuit. Je ne dis pas un mot et allais m'habiller en conservant culotte et couche. Ma femme tâta mes fesses, par habitude, à travers mon pantalon pour s'assurer de la présence protectrice.

  • Tiens, je croyais que tu l'aurais enlevée pour aller acheter ton matériel. Dit elle.

Nous étions dehors avant que j'aie pu lui répondre.

En chemin, je pensais qu'elle avait raison, toute approche d'une vendeuse se solderait inévitablement par la découverte de la couche. Et l'odeur qui ne pardonne pas. Oui, mais si j'avais une autre fuite ? Je ne savais plus que faire. De toute façon, il était trop tard. La vendeuse nous avait reconnu et s'approchait en souriant.

  • Demande-lui ce qu'il te faut. Me dit ma femme.

Péniblement, je demandais une autre culotte. Je précisais vite la taille pour éviter le centimètre et les manoeuvres trop près de ma couche.

  • Quel modèle ? Demanda la vendeuse.

  • Simple sans pressions. Dis-je un peu plus assuré.

  • Quel dommage, nous en manquons. Mais nous avons ce modèle à pressions qui est très bien. Il y a trois pressions de chaque coté, avec une doublure. Dit-elle en déballant une culotte en lanoline à pressions. Elle faisait l'article pendant que j'acquiesçais.

  • Mais je dois reprendre votre tour de taille, ce modèle taille beaucoup plus grand. Dit-elle.

Elle s'approcha, un sourire malicieux aux lèvres tandis que, vaincu, j'écartais mon manteau pour lui faciliter la tache. Ma femme s'amusait. La vendeuse prit ses mesures au bassin aussi et inévitablement, l'épaisseur de la couche faussa la lecture. Elle s'y reprit à deux fois, chaque mesure confirmant un tour de fesses supérieur à la moyenne.

  • Mais vous êtes garni ? demanda-t-elle vivement.

  • Oui. J'ai de petits problèmes le jour aussi. Dis-je en baissant les yeux.

  • Je vois, alors Il vous faut autre chose. Dit-elle.

Je la suivis entre les rayons. Elle changea de rayon et prit sur une étagère un change complet.

  • Avec ça, vous serez protégé comme avec votre culotte. Mais c'est plus discret et pour vous changer, tout se jette. Dit-elle.

Je regardais le change avec intérêt. J'avais presque perdu toute honte et je pensais à celui qui allait porter ça sans réaliser que c'était moi.

  • Ca ne serre pas trop ? Demandais-je.

  • Vous l'ajustez vous-même à votre taille avec les Scotchs. dit la vendeuse.

Je réalisais soudain que j'avais parlé normalement. Et elle aussi. Mes couches devenaient 'normales'. Je devenais incontinent et tout le monde trouvait cela 'normal'. J'achetais la culotte, un autre paquet de couches nuit et des changes complets. J'étais chargé de couches en tous genres. On me regardait un peu mais ça ne me gênait plus. En partant, je m'aperçus que j'étais humide.

J'avais encore fait. Ca devait être pendant que je parlais avec la vendeuse. Finalement, ça m'amusait. Ma démarche avait changé un peu du fait de l'humidité dans la couche et ma femme s'en aperçut.

  • Hé bien, tu n'as plus besoin de te forcer on dirait. Me glissa-t-elle avec un sourire. Ainsi elle avait deviné. Et elle avait joué le jeu depuis le début. Je ne savais que penser.

En rentrant, j'eus le droit de me changer. Au sec, dans ma nouvelle culotte, je dis à ma femme mes craintes. Elle les balaya d'un mot.

  • Et alors ? Tu étais langé avant, tu seras langé maintenant. Où est la différence ?

  • La différence, est qu'avant je faisais exprès et plus maintenant. Dis-je.

  • Le résultat est le même. Dit-elle en guise de conclusion.

  • Au fait... Ma soeur et son mari viennent dîner ce soir. Reprit-t-elle.

Tiens, pensai-je, ça fait un bout de temps qu'on n'a plus parlé d'elle et de la séance de l'autre soir.

Mais pourquoi avec son mari ?

  • Je m'habille comment ? Demandais-je.

  • Exceptionnellement, tu peux mettre un pantalon. Mais pas de blague, tu mets une couche.

J'acquiesçai en silence en me préparant pour recevoir ma belle-soeur et son mari.

En arrivant, je vis que ma belle-soeur avait retrouvé tout son aplomb. Elle me regarda droit dans les yeux pour prendre de mes nouvelles.

  • Tu n'es pas gêné ? Demanda-t-elle.

  • Non. Répondis-je en sachant parfaitement à quoi elle faisait allusion.

  • Gêné par quoi ? Demanda son mari.

La réponse se perdit dans la suite de la conversation. A l'apéritif, je fis attention de ne pas faire de bruit avec ma couche. Ma belle-soeur regardait avec insistance mon pantalon. A tel point que ça attira l'attention de son mari.

  • Mais que regardes-tu comme ça ?

  • Rien... Dit-elle avec un sourire.

  • Je ne vois rien. Dit son mari en regardant à son tour.

Je respirais en silence. Ma femme me demanda d'aller chercher des cacahuètes. Aïe. Se lever.

Focaliser les regards. J'étais bon pour la découverte. Obéissant, je me levais. Je savais que son mari me suivait des yeux. Il ne pouvait ne pas voir. Profitant d'une discussion entre les deux soeurs, il s'assit à coté de moi et me demanda à voix basse.

  • Qu'est-ce que tu portes sous ton pantalon ... Un pansement ?

Cramoisi, je dus lui répondre. D'autant plus que les femmes avaient arrêté de parler et qu'elles me regardaient. J'avouais la vérité. Une surprise incrédule se peignit sur son visage.

  • Tu peux toucher si tu veux. Dit ma femme.

Il fit non de la tête, perplexe. On passa à table. Puis la conversation revint sur moi.

  • Tu le savais ? Demanda-t-il à sa femme.

  • Oui. Mais je ne t'en ai pas parlé. Dit-elle.

Il me questionna ensuite sous le regard amusé de sa femme et de la mienne. Sur la gêne, la fréquence des changes, il voulut tout savoir. A la fin du repas il savait tout. Je savais ce qui allait se passer ensuite.

Tranquillement installés au salon, ma femme suggéra que j'enlève mon pantalon. Ce que je fis. Je revins me rasseoir et elle entreprit une douce caresse sur le plastique. Il ne détachait pas ses yeux de la culotte.

  • Vous faites souvent ça ? Demanda-t-il.

  • Oui, Il aime beaucoup. Répondit ma femme. Pendant que sa soeur prononçait la question piège.

  • Tu veux essayer ? Demande ma belle-sœur à son mari.

Un blanc... Puis elle me demande d'aller chercher une couche. Cette fois, elle me demande aussi une culotte pour lui montrer. Je revins au salon avec couche et culotte et les lui tendis. Il s'en empara en tremblant.

  • Va les mettre. Lui dit sa femme.

Il tenta de biaiser, mais n'y parvint pas. Ma femme prêta main forte à sa sœur et elles réussirent, peut-être avec l'aide de l'a l c o o l, à le convaincre. Il se laissa fléchir et alla dans la salle de bain. Comme il ne ressortait pas, ma belle-sœur frappa à la porte.

  • Ça va ? Lui demanda-t-elle à travers la porte de la salle de bain.

  • Oui, mais je ne sais pas bien mettre ça. Répondit-il après un moment.

  • Sors de là ! On va t'arranger ça.

Il sortit de la salle de bain en couche, rouge de honte et pourtant je le sentais heureux.

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